Vernissage de l’exposition URBAN ART
Hôtel La Vague de St Paul
Expo du 1er avril au 31 octobre 2024
Art @ La Vague … L’art est omniprésent tout au long de l’année
Comme chaque année pour l’exposition annuelle de l’hôtel, les artistes ont travaillé autour du thème de l’art urbain qui est par définition un art éphémère.
Certaines œuvres ont été directement réalisées dans l’hôtel et d’autres ont été installées par les artistes ou proviennent de collections privées.
Ces œuvres créées sur place ont été pensées comme des décors à part entière à l’intérieur de l’hôtel ou dans les jardins.
Dans les jardins de l’hôtel, sous un barnum de réception, les nombreux invités se retrouvent après avoir parcouru les œuvres d’une vingtaine d’artistes disséminées dans les différents espaces intérieurs de l’hôtel et dans les jardins.
The Shockin’ Papas, un groupe niçois aux influences Rock/Blues ( 3 guitares, basse, batterie et … harmonica ) nous accueillent « en fanfare ».
Guillaume Puig, Directeur Général de La Vague de Saint Paul, remercie les artistes et les invités présents. Anthony Alberti allias Mr. One Teas, ami depuis toujours de Guillaume Puig et habitué des lieux, remercie son hôte tandis que madame Henriette Albin, présidente du comité de travail “art @ La Vague 2025” nous présente cette exposition URBAN ART.
Suivait un cocktail préparé par Akhara Chay, Chef des cuisines et son équipe
Les artistes participant à l’exposition URBAN ART …
Anthony Alberti, artiste graffeur, peintre, photographe et sculpteur français, également connu sous le nom de Mr. One Teas, combine un éventail éclectique de techniques pour exprimer ses idées étonnamment originales, mélangeant spray, pochoir, photos, collages et résine sur des matériaux variés comme la toile, les voitures, les façades, les murs et même le corps humain lui-même. Ses œuvres ornent les façades et les murs des bâtiments du monde entier, particulièrement omniprésentes dans sa ville de Nice, en France. Il est reconnu et célébré pour son travail original et stimulant dans le monde entier.
Jean-François Bollié est un artiste sculpteur français qui utilise un procédé de création consistant dans un premier temps à arracher de la matière pour mieux la reconstituer. Des lignes simples et épurées et des couleurs vives sont les caractéristiques de son travail avec un thème récurrent, l’humain restreint à sa plus simple apparence pour ne conserver que l’harmonie des lignes. Son œuvre « la Plongeuse » est devenue un symbole sur toute la côte d’Azur.
L’œuvre de Laurent Bosio allie force tellurique et liberté d’expression. Des monstres polychromes et métalliques aux bonsaïs d’aujourd’hui, on mesure aisément la valeur qu’il accorde à ses sculptures. Laurent Bosio est de ceux qui laissent leur imagination s’affranchir de toute convention, nous proposant non sans humour son univers très personnel où l’exagération est la règle. Une œuvre qui signale la liberté quand d’autres parlent de beauté et de laideur.
Elena est toujours à la recherche de nouvelles façons d’expérimenter différentes formes d’art (dessin, peinture, cire, plâtre, céramique et bronze) tout en se concentrant sur la sculpture de créations plus vraies que nature. Elle est particulièrement fascinée par la technique du « Cire perdue ». Avec cette technique, elle est capable d’ajouter beaucoup de détails très fins à ses sculptures plus solides et établir un lien émotionnel fort entre l’observateur et la sculpture.
Jen Miller est une artiste Niçoise qui évolue depuis son plus jeune âge dans une atmosphère artistique prononcée. Elle peint d’abord les couleurs vives d’une Provence qu’elle adore puis, récupère aux cours de ses voyages, journaux, brochures et magazines, ne concevant pas que ces derniers puissent être jetés parfois avant même d’avoir été lus, interrompt alors son travail sur la couleur pour exploiter un support qui selon elle ne tardera pas à disparaitre, noyé par la vague internet. Elle choisit alors de figer les mots ainsi que les maux de notre société, jouant sur les contrastes et les teintes offertes par ce support.
Diplômé de l’école Boulle (Paris), Il travaille dans différents ateliers d’arts et à la Fonderie d’art Rosini. En 1985, Nicola fait sa première exposition personnelle à la galerie Carpentier, rue du bac à Paris. Plusieurs expositions suivront à Paris, New-York, Singapour, Hong Kong, Londres, Genève et Miami. L’artiste travaille sans concession sur l’équilibre, le rythme, le mouvement du corps et le dialogue intime entre ses œuvres. Nicola Rosini Di Santi reste plus que jamais, un artiste à l’écoute des battements de cœur du monde.
- Lin Felton aka Quik (@quikrtw)
Lin Felton aka Quik est né à New York. Membre actif du RTW Crew, il a évolué notamment aux côtés de Basquiat et a imposé les quatre lettres de son blaze sur les trains de la Big Apple. Quik fait partie de ces artistes qui ont insufflé à la scène urbaine européenne toute l’énergie de la culture graffiti originelle. Son style déploie une image satirique presque arrogante qui puise certaines influences dans le comique. Il traite l’histoire afro-américaine et joue avec de manière ambiguë.
Après une immersion de dix ans à pied ou à moto sur les routes de tous les continents, Rice pose ses valises en 2000 sur la côte d’Azur. Il exploite alors toutes les formes d’expressions possibles jusqu’à agglutiner des milliers de capsules pour parler du consumérisme, par l’objet rejeté de la société de consommation. L’homme s’interroge et interpelle renvoyant l’image résultante d’un comportement propre à la société.
- Stéphane Cipre (@stephanecipre)
Né en à Paris de famille niçoise, il se forme comme modéliste avec son père au sein de l’entreprise familiale. Ses analyses sensibles de la société permettent au public de se placer au cœur des enjeux de l’art contemporain, et transforment Stéphane en un philosophe par l’image. Chaque œuvre nous raconte une histoire allant de la déception aux bancs de l’école à la constatation d’une mondialisation et d’une mass-culture qui divise nos sociétés. Le travail de Cipre fige des interrogations philosophiques et inscrit sur des images nos existences. Ses œuvres sont des révélations, où les mots et leurs sens ne forment plus qu’un par l’image.
Michel Soubeyrand explore avec un humour délicieusement ironique, corrosif et esthétique notre inconscient à partir d’un thème central, notre animalité. Si l’esprit est résolument pop, Soubeyrand n’a rien en commun avec les imitateurs pop, néo pop et pseudo kitch. Il développe un sens du dessin et du volume, une exigence et une maîtrise technique exceptionnelles. Ancré dans son univers méditerranéen, il réalise un joyeux métissage de culture latine et anglo- saxonne.
Kotek, artiste multidisciplinaire renommé, a captivé le public avec ses œuvres uniques et innovantes. Son univers créatif mêle la puissance des rues à la délicatesse des toiles, sculptant des émotions avec des formes audacieuses et des couleurs qui captivent l’âme. Que ce soit à travers des paysages abstraits prenant vie en trois dimensions ou des figures sculpturales émergeant de toiles expressives, Kotek redéfinit les frontières de l’expression artistique.
Après un master de musicologie à l’Université de Tours, Le Turk se dirige tout d’abord vers la bande-dessinée puis s’ouvre à la photographie. Il met tout d’abord en scène le cirque, les cabarets, inspiré par un Paris d’avant-guerre. Il utilise des décors qu’il conçoit et fabrique rappelant ainsi l’univers de Georges Méliès.
- See (@95mpv)
SEE a débuté le graffiti en 1989 en taggant dans le RER A entre Nanterre et Saint Germain En Laye pour très vite s’attaquer aux métros de la capitale. Sans oublier les autres supports, trains, murs de lignes ou d’autoroutes. Après deux arrestations dont une avec incarcération, il a du mettre le « graffiti vandal » de coté, et se consacrer depuis 2009 aux toiles pour son plaisir.
Fondateur, en 1984, du groupe de peintres Nuké-Art, Kriki incarne encore la culture punk dans l’art contemporain français. Début des années 80, il participe à l’éclosion de ce que l’on nomme aujourd’hui le Street Art, mais ce peintre appartient aussi à cette sensibilité générationnelle de la Figuration Libre dont il contribuera à la redynamisation. En 1985, Kriki invente un personnage, le ” Fuzz ” mi-robot, mi-fétiche polymorphe, omniprésent, véritable signature de l’artiste, à la tête emblématique.
Demsky a commencé son parcours créatif en s’immergeant dans le boom du graffiti au début des années 90. Autodidacte, ses influences artistiques sont ancrées dans le mouvement graffiti, l’ère fluo et sa nostalgie actuelle pour la fin des années 80 et le début des années 90. Demsky désire élargir sa production artistique vers de nouveaux concepts dans son travail en studio – une nouvelle approche pour développer un côté plus conceptuel où il essaie d’introduire de nouvelles formes d’art autour de la relation interconnectée de l’espace et du temps, avec un fort accent sur la recherche du défaut et l’animation de compositions statiques.
Jersey Joe, est un artiste américain issu du mouvement graffiti. Il est né à New York, dans le quartier de Brooklyn. Il s’initie au graffiti en 1991 à Staten Island, NYC, avant de s’aventurer dans les autres quartiers de New York, notamment celui de Soho à Manhattan. En 2003, Il entreprend son premier voyage hors des Etats-Unis et sillonne l’Europe pendant deux mois. Il y gagne une reconnaissance internationale sous les pseudonymes de Rime et Jersey Joe. A l’été 2019, Rime entame une résidence à la galerie Wallworks à Paris pour préparer sa prochaine exposition. La pandémie de Covid l’oblige à résider à Paris. Depuis, il a décidé de rester vivre en France.
Et aussi les artistes : Arch, Benjamin Borvon alias Monsieur Jamin, Pont des Arts, Kouka Ntradi …
45, Chemin des Salettes, 06570 Saint-Paul-de-Vence
Restaurant le Jardin de La Vague
Tél + 33 (0)4 92 11 20 00
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