Le Paseo … la nouvelle terrasse colorée de l’Hôtel Juana***** à Juan-les-Pins

Inauguration du Paseo

Hôtel Juana***** – Juan-les-Pins

Plaisirs partagés au Paseo

C’est tout nouveau, tout beau ! L’ex Bistrot Terrasse de l’Hôtel Juana ***** fait place à un lieu convivial, lieu de partage, moments de parenthèses entre amis et en famille, des saveurs méditerranéennes à déguster sur une nouvelle terrasse colorée : Le Paseo, repensée par Arnaud Larguier, artiste, scénographe, designer (Atelier Larguier).

Steve Moracchini

Chef pâtissier du Groupe Belles Rives depuis janvier 2012, Trophée du Meilleur Pâtissier de France 2016 Gault & Millau, créateur en 2017 du célèbre gâteau « Rose Belles Rives« , est en charge de la carte du Paseo.

Plus qu’un Bar à Tapas traditionnel, Le Paseo propose une vraie cuisine méditerranéenne, des spécialités « Grand Sud », des cocktails originaux et des vins qui font la part belle à la Provence.

On y retrouve : petite friture, bagna cauda, pissaladière, planche de charcuterie ou de fromage, socca à la farine de pois chiches, guacamole minute ( excellent ), beignets de fleurs de courgettes, pizzette, gaspacho de tomates de pays ( délicieux ), petits farcis juanais, tartare, polpette de viande, poulpe, variété de salades et un succulent parmigiana d’aubergine.

Les douceurs ne sont pas oubliées, les Tiramisurprises : nous vous conseillons de savourer le tiramisu limoncello ou aux fraises, une merveille !

Ou, choisir dans la collection de pâtisseries de Steve Moracchini.

Un très bon rapport qualité/prix : 8 à 22 € pour les plats, 9 € les desserts, cocktails : 14 et 16 €, apéro : 10 €, vin au verre : 6 à 9 €, bouteille : 29 à 70 €. Les bulles sont bien évidemment présentes : prosecco et champagne, les « petites mousses » et même un cidre artisanal Bio !

Marianne Estène-Chauvin,

propriétaire de l’Hôtel Belles Rives, un palace art déco ancré au début du Cap d’Antibes et fondé en 1929 par ses grands-parents, Boma et Simone Estène, acquiert l’emblématique Hôtel Juana en 2006.

Arnaud Larguier, Marianne Estène-Chauvin et son fils Antoine

« Combien de fois suis-je passée devant le Juana sans jamais rêver que je l’achèterais un jour ? Derrière sa façade ultrachic, j’y imaginais une vie excentrique, un rien sulfureuse. J’y ai préservé son aventure artistique, et sa lumière, belle et apaisante. Il y a çà et là des objets inutiles et des chambres où rien ne manque. J’y privilégie la facilité plutôt que la sophistication : un client bien accueilli oublie toujours d’où il vient. » Marianne Estène-Chauvin